Les fantômes japonais : vecteurs et archétypes

Durée : 1h02min
Intervenant : Régis Olry
Disponible : à partir du 27/11/2021
Version : 1.0 mise en ligne le 15/09/2021

L’omniprésence du concept de fantôme au Japon a des racines dans le Bouddhisme, le Shintoisme, et l’étonnante résistance de la tradition aux développements technologiques. Les vecteurs de diffusion, aussi bien des fantômes traditionnels (Oiwa, Okiku) que des récentes légendes urbaines (Kuchisake onna, Teke Teke) sont la tradition orale (Hyaku monogatari), le théâtre (Nô, Kabuki), les estampes (Yoshitoshi Tsukioka), la littérature (Lafcadia Hearn, Suzuki Kôji, Tara Devlin) et, sans doute le vecteur le plus pénétrant, le cinéma (Nakata Hideo, Shimizu Takashi, Kurisawa Kiyoshi). Nous analysons alors les caractéristiques de l’archétype du fantôme japonais (femme au teint pâle, vêtue de blanc, cheveux tombant devant le visage, absence de pied). Finalement, nous décrivons ce que nous appelons l’effet Sadako et donnons quelques exemples de l’omniprésence des fantômes japonais dans la vie de tous les jours.

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